Réalisation proposé par la Mairie d’Habsheim pour Accueillir les Sportifs de la Barbade.

Dans la tasse, un éclat de douceur,
Le chocolat fond, révélant sa splendeur.
Le liquide onctueux coule,
en volutes dorées, en notes sucrées.
Les morceaux croquants, éclats de cacao,
Racontent des histoires des maîtres artisans.
Truffes délicates, ganaches soyeuses,
Chaque bouchée, une aventure précieuse.
Des textures variées, des états raffinés,
Les chocolatiers créent des rêves enchantés.

Dans l’atelier du futur, où la lumière danse,
Une ampoule s’éveille, éclat de l’espérance.
Elle brille parmi les codes, langage de silence,
Et les engrenages tournent, en douce cadence.
Les chiffres binaires coulent, telle une rivière verte,
Ils entourent la lumière, dans une étreinte ouverte.
Les rouages de l’histoire, mémoire d’une ère alerte,
Se mêlent aux clés d’une machine, écho d’une découverte.
Le clavier dactylographique, témoin du passé,
Dialogue avec le présent, un futur embrassé.
Dans cette toile de rêves, où tout semble lié,
La technologie et l’art, ensemble, sont alliés.
C’est un monde où l’ancien rencontre le nouveau,
Où chaque invention est un souffle chaud.
Un tableau qui raconte, sans un seul mot,
L’union de l’humain et du techno.

« Dis, combien tu m’aimes ? » demande l’enfant sage,
La mère répond doucement, « Plus que le voyage
De la terre à la lune, mon amour est grand,
Il fait le tour des étoiles, et revient en te cherchant.
Il est comme le vent qui caresse les montagnes,
Comme l’océan qui embrasse les campagnes.
De la terre à la lune, mon cœur bat pour toi,
Et chaque battement te dit combien je crois
En notre lien éternel, fort comme l’univers,
Mon amour pour toi, mon enfant, traverse
Les galaxies lointaines et les cieux infinis,
De la terre à la lune, et retour, pour la vie. »

Dans le jardin des rêves dorés,
L’abeille danse, ailes déployées.
Symbole de travail et d’harmonie,
Elle butine, messagère de vie.
Parmi les fleurs, elle trace son chemin,
Chaque vol est un doux refrain.
Avec grâce, elle effleure les pétales,
Son labeur, une œuvre vitale.
L’abeille, artisan du destin,
Relie la terre au divin.

Sous un ciel clair, le scarabée brille,
Ses ailes ornées de motifs subtils.
Symbole ancien de renaissance,
Il porte en lui l’essence de l’existence.
Chaque ligne, chaque courbe raconte,
Des histoires d’un temps qui se monte.
Les formes géométriques et organiques,
Se mêlent en un ballet mystique.
Petit mais puissant, il nous rappelle,
Les secrets du passé, éternels.

Dans le bleu de la nuit s’éveille un regard,
Un lynx paré de rêves, mystique silencieux,
Ses oreilles pointues vers les étoiles dressées,
Dans l’obscurité, ses yeux verts sont allumés.
Des arabesques coulent de sa fourrure,
Tissant des contes anciens d’une nature pure.
Sa présence est un chant qui traverse les âges,
Un esprit sauvage dansant
Sur la toile des mages.
Il veille, gardien éternel
Des secrets de la forêt.

Dans l’orbite d’un monde, deux moitiés se rencontrent,
L’œil et la Terre en une sphère se fondent.
Un regard qui embrasse les continents, les mers,
Une vision partagée entre l’homme et l’univers.
À travers la pupille, des océans de verdure,
Des forêts et des monts, la nature en peinture.
Dans ce miroir vivant, l’humanité se voit,
Un demi-globe qui veille, un demi-œil qui croit.
Entre ciel et terre, une frontière s’efface,
Dans l’éclat d’un iris, le monde trouve sa place.

Un bouquet d’âmes dans un vase doré,
Chaque fleur une vie, un rêve éthéré.
Rouges et blanches, elles s’épanouissent.
Leurs pétales murmurent des histoires anciennes,
Des souvenirs d’amour, de joies sereines.
Ensemble, elles forment une harmonie parfaite,
Un chant d’âmes unies, une symphonie secrète.
Dans ce vase, la vie trouve son essence,
Un bouquet d’âmes, une éternelle danse.

Des âmes s’élèvent, flammes dans le vent,
Racines profondes dans la terre tissées,
Lueur d’espoir en l’azur se levant,
Échos de vie que le sol a embrassées.
Où le feu prend racine,
Chaque silhouette danse avec grâce,
Dans le ciel où leur destin se dessine,
Libres et liés à la terre qui les enlace.
Elles s’épanouissent, flamboyantes,
Hors du noir terroir.

Une âme dans l’univers infini,
Jette des poussières d’étoiles, éclats de vie.
Chaque étoile nait de son souffle divin,
Et nourrit les premières dans un cycle sans fin.
Dans l’eau calme, son reflet s’épanouit,
Créant des mondes, des rêves, des envies.
Chaque grain de lumière, une histoire,
Un voyage céleste, une douce mémoire.
L’âme danse, tisse des liens d’or,
Épanouissement pur, sans effort.
Des constellations naissent de ses mains
Et ces créations s’élèvent pour vous rappeler,
Qu’il est possible de rendre vos rêves réels.
C’est un hymne à la vie pour vous épanouir.

Les dunes d’or, témoins silencieux du temps,
Chuchotent des histoires au gré du vent.
Le ciel chante, en couleurs, la mélodie éternelle,
Et le voyageur, entre deux mondes, s’interpelle.
Dans ce vertige, tout semble possible, infini …
Un instant suspendu, ou rêve et réalité s’unifient.

Plumes d’albâtre, éclat pur, tranchant l’obscur,
Dessinent ta stature, noble créature, en posture sûre.
Dans tes iris, l’étincelle de vie, d’une élégance pure,
Fière, tu brandis ton bec, tel un artiste, sa peinture.
D’Alsace, terre de légendes, tu portes l’emblème,
« Cigogne », sous ce nom, tu règnes, suprême.
Symbole d’un berceau de cultures, d’un rêve bohème,
Dans le ciel, ton ballet, comme un poème.